1
Oh! Que ton joug est facile!
Oh! Combien j’aime ta loi!
Dieu saint, Dieu de l’Evangile,
Elle est toujours devant moi.
De mes pas c’est la lumière,
C’est le repos de mon coeur;
Mais, pour la voir tout entière,
Ouvre mes yeux, bon Sauveur! (bis, 2 lignes)
2
Non, ta loi n’est point pénible
Pour quiconque est né de toi;
Toute victoire est possible
A qui combat avec foi.
Seigneur, dans ta forteresse,
Aucun mal ne m’atteindra:
Si je tremble en ma faiblesse,
Ta droite me soutiendra. (bis, 2 lignes)
3
D’un triste et rude esclavage
Affranchi par Jésus-Christ,
J’ai part à ton héritage,
Au secours de ton Esprit.
Au lieu d’un Maître sévère,
Prêt à juger et punir,
Je sers le plus tendre Père,
Toujours prêt à me bénir, (bis, 2 lignes)
4
Dieu qui guides, qui consoles,
Je sais bien que le bonheur
C’est de garder tes paroles,
Et je les serre en mon coeur.
Fais-moi marcher dans ta voie
Et me plaire en tes statuts:
Si je cherche en toi ma joie,
Je ne serai pas confus. (bis, 2 lignes)